La cage dorée, Camilla Läckberg

 

Quatrième de couverture :Faye a voué sa vie à Jack, elle a tout sacrifié pour lui. Mais lorsque Jack, coureur de jupons invétéré, la quitte pour une jeune collaboratrice, laissant Faye complètement démunie, l’amour fait place à la haine. La vengeance sera douce et impitoyable : il lui a tout pris, elle ne lui laissera rien.

Mon avis : Je ne sais pas pourquoi j'ai mis autant de temps à me mettre à cette lecture. J'ai beaucoup aimé me replonger dans la lecture d'un polar de Läckberg après sa série Eric/Patrick. Le style est un peu différent, plus proche des pages de flash backs auxquelles elle nous avait habitué : plus accrocheur, dans la veine de Stieg Larrson. Le procédé est toutefois également repris ici mais cette nouvelle approche risque de déstabiliser ses lecteurs habituels. Même si l'intrigue n'est pas très originale et qu'on sent venir la fin dès le début, j'ai trouvé que c'était un livre distrayant, comme il se doit pour une lecture de vacances. 

D'ailleurs, il est davantage question d'un thriller que d'un polar, d'une guerre psychologique entre les hommes d'un côté, et les femmes de l'autre. Un peu caricatural me direz-vous ? Oui, tout à fait. Pour ce roman, l'auteur n'a pas choisi de faire dans la demi-mesure.

Pour aller plus loin : Premier volet d’un diptyque, «La Cage dorée» est un thriller glaçant qui résonne funestement avec l’ère #MeToo. Autant vous dire que le deuxième tome va finir sur ma pile à lire parce que franchement, on passe toujours un bon moment avec Camilla Läckberg.